Très précieux.ses mécènes, sugar daddies, sugar mommies, sugar persons,
C’est le toupet fébrile que je vous présente le contenu exclusif du mois de mai, une réflexion sur les apprentissages inopinés de l’enfance qui deviennent des outils précieux à l’âge adulte.
En plus, cette fois-ci j’avais envie d’essayer quelque chose de nouveau pour moi, de me mettre au défi, de me casser le bécyk un peu, quoi.
J’ai saisi le tout petit micro acheté sur Amazon pendant un des confinements avec l’intention d’interviewer Denise pour le lol, j’ai ouvert Audacity pour la 2e fois et je me suis enregistrée. Ensuite j’ai fouillé dans des banques de sons gratuits pour illustrer le tout.
Avec à peu près 10% d’expérience dans chacune des étapes de création de ces 9 minutes, j’ai quand même beaucoup aimé le processus.
Ça m’a fait réapprécier l’approche lo-fi DIY de faire des affaires avec des broches à foin. Est-ce qu’on pourrait entrer ça dans la catégorie artisanat? Est-ce qu’un jour on aura un Salon des métiers d’art numériques? Avec des gens qui créent des films tournés avec une patate, qui construisent des sites web en cure-dents, qui enregistrent des podcasts avec de l’équipement de type farces et attrapes? C’est quoi l’équivalent numérique d’une poupée boudeuse? Quizas, quizas, quizas.
PS: je fais des blagues sur les métiers d’arts mais je sais bien que #notallartisan.e.s
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